Montlaur fait à nouveau référence à la fin tragique de Nerval, son suicide Rue de la Vieille Lanterne à Paris, la nuit du 25 au 26 janvier 1855. C’était quelques jours après la publication de la première partie d’Aurélia où il relatait ses rêves prémonitoires.
Le peintre est en pleine période “Fontainebleau” : il utilise presqu’exclusivement le couteau à palette et joue sur les superpositions des couches de couleurs différentes en grattant celles-ci. Les formes de couleurs vives semblent emprisonnées dans un monde noir d’encre.