Montlaur poursuit sa recherche de la peinture parfaite en associant les formes et les couleurs et en suivant les principes de son ami, le peintre Gino Severini : « les couleurs sont déterminées de manière quasi mathématique et découlent rigoureusement des formes » (Du cubisme au classisisme, 1921). Ici, le peintre s’est inspiré du triptyque de la cathédrale de Moulins où la vierge et l’enfant sont englobés dans une mandorle, soleil nébuleux rayonnant dans le bleu du ciel.